Bienvenue sur notre site wèb: "NOUS, LES ISRAÉLITES". Toujours sur la rubrique stipulée par Daniel 7:25 mettant en relief les infractions de l'homme, nous avons cru nécessaire de vous en présenter une autre illustration. Il s'agit de la mort.
La mort est définie par l'absence totale de signes vitaux. On y voit, désormais, un cadavre. En peu de temps la matière inerte est décomposée à moins qu'elle soit mise en conserve. Quelles sont les prescriptions divines à ce sujet?
D'abord, un rappel de la création de l'homme. "Faisons l'homme à notre image et à notre ressemblance" a dit l'Eternel.  Gen 1:26 Ce langage implique qu'à la matière s'ajoute le souffle divin. Cette dernière, une fois partie, il ne nous reste que le corps inerte, l'impureté si nous empruntons le langage biblique.
Face à ce drame poignant, l'émotion a atteint un point si culminant que nous avons même oublié avoir affaire à une action divine: cessation de vie.
Il importe de souligner que rien a été omis pour nous assister dans la tourmente au cours de notre existence. Qu'il s'agit de l'Ancien ou du Nouveau, nous retrouvons toujours le même discours. Marc 12:27 a été très explicite: "Dieu n'est pas le Dieu des morts mais des vivants". Rien d'autre que ce que nous rapportent Levetique 22:4, Nombres 6:4-6, Nombres 19:11-22, Ezekiel 9:6-7, Ezekiel 43:7 , Ezekiel 44:22-26
Pour se rassurer d'être sur la même longueur d'onde que ses pairs Aggée avait cru nécessaire de dialoguer avec eux à ce sujet: Si quelqu`un souillé par le contact d`un cadavre touche toutes ces choses, seront-elles souillées? Les sacrificateurs répondirent: Elles seront souillées.  Aggee 2:13 Bref!
L'exploitation des uns et des autres est patente. D'aucuns parlent de mercantilisme éhonté qu'un cadavre soit présentée dans un sanctuaire divin. Cette pratique remonte à l'ère égyptienne. Les Romains en ont suivi l'exemple en consacrant le 2 novembre aux morts. C'est à l'oeuvre que l'on reconnait le maçon.
Permettez-nous d'évoquer, une fois de plus Marc 12:27 qui a pour tributaire Marc 12:17 "... Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu." En ce qui concerne un cadavre, César a ses modalités de taxations qui diffèrent d'un pays à l'autre. Le cadavre est temporairement sous son obédience.Bref!
Toujours avec les Saintes Ecritures comme boussole, (Nombre 9:4-11) nous pouvons clamer, haut et fort, que la conservation de cadavre dans les mausolés de nos cimetières résulte de l'impureté dans sa plus criante manifestation.
Encore du mercantilisme, toujours du mercantilisme. Nous y voyons également une subtile manipulation de satan qui a su jouer sur nos émotions pour nous contraindre à nous mettre dos à dos avec les prescriptions divines. Il reste et demeure que l'impureté et la violation d'un lieu saint selon les prescriptions divines sont immuables.
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